Ophelie BRUNEAU

bruneauOphélie Bruneau est hispano-montargo-réunionno-nanto-chti. Hispano par sa mère, moyennant un grand détour par la wilaya d’Oran. Montargo par son père, Gâtinais garanti AOC. Chti pour son enfance dans les grandes plaines du Nord, là où le soleil est dans le sourire des gens… et dans le ciel parfois aussi, non mais des fois sans blague. Réunionno pour son adolescence sous les alizés, changement de paysage radical puisque là-bas, quand on parle de Plaine, c’est à 1500 mètres d’altitude que ça se passe. Nanto enfin pour ses années d’études (scientifiques) dans la meilleure ville du monde, judicieusement jumelée avec l’autre meilleure ville du monde, Cardiff.

Comme tout cela était encore trop simple, Ophélie vit en région parisienne depuis une douzaine d’années avec sa famille et quelques animaux pas forcément à elle, puisqu’il lui arrive d’en garder pour le compte d’associations. Elle n’a pas l’intention de repartir de sitôt, même si les annonces immobilières galloises lui font parfois de l’œil.

Elle s’intéresse à tout et surtout à n’importe quoi, dans le désordre, au fil de ses envies. Titulaire du label « capillophile depuis 1994 », elle aime aussi le chocolat, les mini-chapeaux et tout un tas de machins geeks. L’imaginaire sous toutes ses formes, de la science-fiction à la fantasy en passant par diverses nuances de fantastique, lui offre un espace de liberté pour parler du monde tel qu’elle aime le voir, avec humour et tendresse. Là où d’autres cherchent le merveilleux dans le quotidien, elle cherche plutôt le quotidien dans le merveilleux, entre les fiches de paie des anges et l’approvisionnement en café des explorateurs spatiaux.

En 2012, Ophélie est devenue présidente de l’Armoire aux Épices, une association spécialisée dans la littérature qui fait du bien : un fanzine et un webzine pour se détendre et combattre la sinistrose.

Vient de paraître en 2013 : L’Ouroboros d’argent, Éditions du Chat Noir