C’est d’abord dans la création et la coordination d’évènements qu’Arsène Marquis initie son travail, dans l’optique de potentialiser les pratiques artistiques des personnes minorisées.
‘est dans la continuité de cet élan que sa pratique artistique personnelle s’ouvre en 2017 par la série photographique Softgrounds, où j’explore à travers le portrait l’expérience corporelle d’une vulnérabilité radicale.
Autodidacte, il explore par mon travail les questions de la transmission des récits non-institutionnels et de la vulnérabilité des corps dissidents.