20H : SPEED RACER

De Les Wachowski | 2008 – 2h15 –  Etats-Unis
Avec Emile Hirsch, Christina Ricci, John Goodman

Depuis qu’il est tout jeune, Speed Racer est un as du volant. Son seul rival fut son frère, le légendaire Rex Racer, mort en pleine course et dont il tente de faire vivre l’héritage. Fidèle à la firme de son père, Pops Racer, concepteur de sa puissante Mach 5, Speed refuse de courir pour Royalton Industries. Ce qui lui vaut l’inimitié de son président, qui s’arrange pour que Speed ne gagne plus aucune course. Le jeune homme découvre au fil des épreuves que certaines compétitions sont truquées par une poignée d’hommes d’affaires influents qui n’hésitent pas à payer les concurrents pour déterminer à l’avance les résultats…

Cette adaptation de l’animé des 60’s Mach Go Go Go de Tatsuo Yoshida – pratiquement inconnu en France – traînait dans les cartons de la Warner depuis le début des années 90.
Lorsque les sœurs Wachowski reviennent en 2008 avec Speed Racer, elles livrent une œuvre tout autant visionnaire et en avance sur son temps que l’était la trilogie Matrix.
Rarement un long métrage en prise de vue direct n’aura à ce point approché la folie visuelle des films d’animation, alors accrochez votre ceinture pour réévaluer Speed Racer, ça va décoiffer !

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22H30 :

V POUR VENDETTA

De James McTeigue | 2005 – 2h12 – États-Unis-Allemagne-Royaume-Uni
Avec Natalie Portman, Hugo Weaving, Stephen Rea

L’action se situe à Londres dans une société dystopique, où un combattant de la liberté se faisant appeler « V » cherche à mettre en place un changement politique et social en menant une violente vendetta personnelle contre le gouvernement fasciste en place.

D’abord assistant réalisateur sur Street fighter, Dark City, Star Wars, L’Attaque des clones et bien sûr Matrix, James McTeigue réalise avec V pour Vendetta son premier film.
Produit et écrit par les Wachowski, il s’agit d’une adaptation de la BD culte de David Lloyd et d’Alan Moore.
Si le film est très largement moins radical et anarchiste que l’œuvre de Llyod & Moore, le message a (faiblement) subsisté en dépit des studios et le film à fait l’objet de nombreuses réactions à sa sortie.